Alexander Ier

L'époque d'Alexander Ier se distingue par une série de transformations libérales affaiblissant la poigne du servage. On a introduit l’enseignement initiale gratuite. Sous le gouvernement d’Alexander Ier, le Daghestan et l'Azerbaïdjan du nord se sont joint à la Russie. La Russie faisait la guerre beaucoup. Les guerres avec la Turquie (1806-1812) et avec la Suède (1808-1809) passaient avec succès, et l'adjonction la Finlande (1809) et la Bessarabie (1812) à la Russie est devenue leur résultat.

Vers 1812 la guerre de la Russie avec la France, qui rêvait de l'hégémonie mondiale, est devenue inévitable. Ayant formé l'armée de plusieurs milliers, Napoléon, le 12 juin 1812, a avancé sur Moscou. On a nommé Mikhaïl Ivanovitch Kutuzov le commandant en chef de l'armée russe. La bataille décisive dans cette guerre s'est passée sous le village Borodino. Et bien que les pertes des Russes soient considérablement moins, Kutuzov a pris la décision de reculer et rendre Moscou sans combat. Étant resté à Moscou moins d’un mois, Napoléon a compris qu'il est tombé dans un piège. Ayant laissé Moscou, Napoléon courait à la France. En octobre 1813 près de Leipzig l'armée de Napoléon était cassée définitivement, et en mars 1814 les troupes russes à la tête avec Alexander Ier sont entrées à Paris. La guerre était finie. Selon les décisions du congrès de Vienne, la partie considérable de la Pologne avec Varsovie a passé à la composition de la Russie.