Jalalabad, le Kirghizistan

Jalalabad, le Kirghizistan

Circuits, attractions et choses à faire à Jalalabad

Jalalabad est le centre administratif, économique et culturelle de la region de Jalalabad. La ville est située au sud de la vallée Kougart , au pied de la montagne Babach Ata au nord.

Le climat est sec, avec l'été chaud, l'automne solaire avec les pluies rares d'averse, et l'hiver chaud avec l'humidité augmentée. La région est célèbre par ses récoltes abondantes des fruits et des légumes.

Une des voies  principales  de la Grande Route de la soie passait par Jalalabad, qui acceptait hospitalièrement les voyageurs pendant plusieurs siècles. Les résultats des fouilles archéologiques passées dans les domaines de Saymala Tach éloignés et la vallée Tchatkal témoignent cela.

Des voyageurs, des marchands, des touristes, des pèlerins et des faibles venaient dans la region de Jalalabad pour prendre les bains de salubrité avec les sources minérales, disposés sur la montagne Ayub Taou, à la hauteur de 700 mètres au-dessus du niveau de la mer dans trois kilomètres de la ville. Jalalabad  est célèbre par ses stations balnéaires avec les sources minérales.

La légende annonce qu’on peut  par l'eau de la source Khozret – Ayub - Paygambar guérir le lèpre. À côté de la source autrefois il y avait une tombe, puis la mosquée et après le palais de khan. La station balnéaire Jalalabad  est située sur une des collines dominante au-dessus de la ville. Malgré que l'eau minérale sur la station balnéaire a le goût salé, elle se serve de la popularité immense de la population.

A l'entrée à la station balnéaire à la hauteur de 1000 mètres est situé le café Ikram Ayu, d’où s’ouvre une belle vue sur la ville. Le café se représente un petit ensemble comprenant le magasin de souvenirs, la boutique avec les produits d'artisan et le terrain pour le repos, d’où s’ouvre la vue panoramique sur la ville cachée par les couronnes vertes des arbres. La station balnéaire propose aux visiteurs quelques aspects de l'eau minérale.

Jalalabad, le Kirghizistan

Dans les pays asiatiques le mot Abad est utilisé pour l'appel à la personne qui a fondé la ville. Il croit que Jalalabad était appelé en l'honneur de Jalal Ad din, qui a  construit quelques caravan sérail pour le service des voyageurs, principalement des pèlerins, venant visiter les montagnes sacrées.

Au début du 19ème siècles on a construit une petite forteresse de Kokand, autour duquelle le petit village (kichlak) a augmenté . Ses habitants s'occupaient de l'agriculture, du commerce et rendaient les services aux pèlerins, venant visiter les stations balnéaires médicales. En 1870  des émigrants russes sont venus dans la région. Ils ont fondé la ville de garnison et l'hôpital militaire. Jalalabad était le centre commercial depuis des temps immémoriaux, où on vendait et achetait le bétail, on accomplissait les actes de commerce entre les fermiers et les nomades.

Les chars attelés par les cheveaux, erraient entre les murs des maisons d'argile par les ruelles étroites tortueuses de la ville. Les mosquées étaient ornées de l'ornement vif. En 1916 on construisait le chemin de fer qui a joint Andijan et Jalalabad. Après l'établissement dans la région du pouvoir soviétique, on renouvelait les zones de station thermale, par les rythmes rapides les industries agricoles et alimentaires ont commencé à se développer. Dans les années 1950 la ville était entièrement reconstruite.

Aujourd'hui les entreprises de la production de l'huile, des matériaux de construction, du bois, de l'industrie électrique et technique et  de l'alimentation fonctionnent à Jalalabad. À Jalalabad on produit  le mets délicat local soi-disant "la marmelade de noix", fait des noix pas mûres avec la coquille molle et le miel. Sur le marché à Jalalabad  on présente l'assortiment ample des fruits frais et des noix.

À Jalalabad, comme dans tous les pays de l'Union Soviétique ancienne il y a une rue appelée en l'honneur de Lénine, il y a aussi une fontaine à son honneur, et le monument V.I. Lénine. Dans la ville il y a aussi un musée historique et le musée de la culture.

Saimalu-Tash,  les photos de Artem Volkov