Monuments Archéologiques de Tachkent

Les artefacts, trouvés dans les lieux des fouilles, nous racontent de l’ancienneté de la ville. Des traces des colonies anciennes, nommés comme vestiges d’une ville, peuvent jouxter avec des constructions nouvelles de la ville et représenter un tas de l’argile pour une personne non initiée. Ça vaut la peine de creuser profondément et on peut entendre des « voix » de l’histoire de mille ans. Il y a beaucoup de monuments archéologiques à Tachkent mais on peut mettre l’accent à part à trois : Aktepa, Ming Urik et Chachtepa.

Monuments archéologiques de Tachkent
Monuments archéologiques de Tachkent
Monuments archéologiques de Tachkent

Aktepa Yunus-Abad  - («ak-tépé» de la traduction de la langue turque «une colline blanche»). Sur aujourd’hui c’est un lieu le plus grand des fouilles archéologiques. Pour la première fois, les archéologues à la tête du docteur des sciences historiques Chichkin V.A ont fait des fouilles sur ce territoire en 1948. A l’instant même on a trouvé des monnaies de Tchatch et des fondations des constructions anciennes. Aktepa est un point le plus haut de l’arrondissement Yunus-Abad à Tachkent, à son tour Yunus-Abad est la plus haute localité de la ville. Si monter à la colline Aktepa on peut voir tout Tachkent en évidence.  Il y a peu de gens qui connaissent que cette élévation est un reste de la forteresse de garde construite au Vème s. de notre ère qui gardait Tachkent des ennemies du nord du Vème au VIIIème s.

Ainsi qu'il est apparu qu'il s'est avéré au résultat des recherches archéologiques le plus ancien temple zoroastrien se trouvait auparavant ici. Plusieurs savants supposent au sérieux que le zoroastrisme est né sur cette terre, et les premiers mentions dans les sources écrites à Tachkent (nommé Tchatch alors) se présentent à Avesta (un livre sacré du zoroastrisme). Au XXème s ce lieu a été nommé comme Basmatch-montagne, mais à présent, le nom actuel est Aktepa.

Ming Urik est un monument archéologique de Tachkent qui se trouve presque au cœur de la ville. Auparavant la colonie occupait environ 43 hectares mais la construction de bâtiments a détruit la plupart de ce lieu et a laissé une petite colline à la hauteur de 16 mètres. On a commencé les premières fouilles au XIXème siècle mais il n’y avait pas de technologies dans l’archéologie et beaucoup de données ont été perdues.

Plus tôt, lors des fouilles, on avait déjà trouvé un palais des rois de Tachkent décoré de fresques. Et en 2008, les archéologues ont de nouveau effectué des recherches et trouvé les restes d'une structure plus ancienne - le temple du feu, âgé d'environ 2200 ans, ce qui nous a permis de confirmer que l'âge de Tachkent dépasse les deux cents ans au moins.

Après les fouilles les pouvoirs ont pris la décision de garder des ruines des vestiges d’une ville. Pour cela on a entouré la colline avec les ruines par un mur en brique écrue.

Chachtepa est un lieu dans la partie du sud de Tachkent où la forteresse de garde se trouvait auparavant. A nos jours il existe seulement une partie élevée – une citadelle de la hauteur de 12 mètres. Pourtant on peut trouver des restes du temple des adorateurs du feu. La plupart de la localité est occupée par la construction des bâtiments.

Kanka est une ancienne colonie située à 70 km de Tachkent moderne, dans la vallée d’Akhangaran. Kanka était une première capitale de l’Etat Kangyu, mentionnée dans les sources chinoises du IIème s avant notre ère. L'oasis de Tachkent à cette époque était le cœur de l'État de Kangyu. Dans les chroniques chinoises, il s'appelait Uni, ainsi que Shi. Du IIIe siècle de notre ère cette ville est devenue la capitale d'un État indépendant. Au fil du temps, le centre de l'oasis de Tachkent s'est déplacé de Kanka au nord, vers le territoire de Tachkent moderne, vers la ville qui existait à Ming Urik.