Le métier russe

Le métier russe

Les métiers traditionnels de la Russie 

La forgerie

La forgerie est un métier populaire le plus ancien en Russie. Les forgerons forgeaient des outils, des instruments (des socs de fer, des faux, des faucilles, des couteaux, des scies, des serrures) et des armes (des épées, des sabres,des pointes des flèches, des cottes de mailles, des casques).

 « La forgerie d’or » – le métier de joaillerie était le métier particulier. Les maîtres produisaient des bijouteries fines – des amulettes de bronze et de bijoux : des pendeloques, des boucles, des colts et des grivnas (des boucles d’oreilles et des colliers anciens). La bijouterie produite selon la technique de grain (sur le produit on soudait des arabesques, qui comprenaient de plusieurs billes) et de filigrane (le dessin s’était fait à l’aide du fil fin, soudé sur la surface métallique, et les intervalles entre les cloisons filigranes étaient remplis par émail colorés). Ainsi, s’étaient faites des bijouteries précieuses, produites d’après la technique d’émail cloisonné, la bijouterie typique de la Russie. La technique de bijouterie des maîtres russes était compliquée, leurs produits étaient demandés dans les plusieurs pays du monde entier.
 

Le métier de poterie

Le métier de poterie a apparu un peu plus tard que la forgerie. A XI siècle le tour de potier apparaît. Outre de la vaisselle différente les potiers produisaient des briques. 

Le traitement du bois

La Russie de l’époque av. J.C. connaissait la fonte et l’emboutissoir, la céramique et la broderie, savait la maîtrise fine d’émail. Les peintres de Kiev savaient la gravure sur des cadavres, le patinage, la gravure sur le métal, produisaient des carreaux, savaient la verrerie.

Mais la Russie était plus habile en traitement du bois. Les constructions en bois, les isbas et les palais, les portes et les ponts, les murs de forteresse, des barques, des ustensiles de ménage étaient bien décorés par la gravure et définissaient l’extérieur de la Russie. 

 

L'art de peinture

Depuis longtemps la Russie était célèbre par sa porcelaine et son art de la peinture. Deux écoles différentes et les directions de ces métiers ont apparu :

Gjel – est un nom de la porcelaine avec la peinture bleue parée au fond blanc. Ce nom est provenu du nom de la place non loin de Moscou. Le métier de poterie existe ici dès le début du XIV siècle. La céramique de Gjel est connue dans le monde entier.   
La peinture de Jostov (selon le nom du village non loin de Moscou) – la peinture décorative à l’huile sur les plateaux métalliques, qui étaient puis vernis : les fleurs et les fruits, dessinés aux couleurs vives au fond noir.
La miniature de Palexsk (selon le nom du centre dans la région Ivanovo) – ainsi on appelle la peinture sur les produits de laque de papier mâché. Des coffrets avec les sujets de folklores,  littéraires, historiques et religieux, accomplis aux couleurs vives au fond noir. L’art de la miniature de laque de Palexsk remonte à XV siècle. Initialement, les peintres dessinaient les icônes. La technologie ancienne de peinture passe d’une génération à l’autre. Khokhloma – est une peinture manuelle sur bois. Ce métier a plus de 300 ans. Des tasses, des salières, des chaises et des rayons – sont décorées par les fleurs éclatant exotiques. Le secret de ces produits est qu’ils sont vernis deux ou trois fois et puis on les met dans le four. Le lac jaunisse et les tasses ressemblent à la vaisselle d’or précieuse.
Loubok – les images russes populaires, créées à l’aide d’empreinte sur une feuille de papier du cliché de bois. Vendu aux marchés au XVII siècle encore et jusqu’au début du XX siècle, ces images étaient le type le plus populaire de l’art de peinture de la Russie. Le sujet des images populaires est très différentes : il touche les sujets religieux et moralisateurs, des poèmes étiques et des comtes, les sujets historiques et de médecine, qui sont accompagnés par les textes édifiant et amusant, récitant les mœurs et la mode de vie de cette époque, comprenant une sagesse populaire et l’humour.
 

Le métier à Tula

Partout en Russie et hors de ses frontières on peut rencontrer le samovar de Tula. L’apparition des premiers samovars à Tula remonte à 1778. Il existe à peu près de 200 types du samovar. A Tula existe le musée des samovars. Mais matriochka – une poupée en bois décorée, pleine à l’intérieur, de laquelle les autres petites poupées sortent l’une à l’autre - est un souvenir russe principal.